Pétition
À l’attention : des malades de Lyme, médecins et professionnels de santé, et des associations concernées
Merci de relayer largement!
Malades de la borréliose de Lyme en colère !
STOP au mépris !
RDV à Paris le 12 mars à 14 h
Ministère de la Santé – 14, avenue Duquesne – Paris 7e
(Métro Ecole Militaire ou Saint-François-Xavier)
Assez du silence coupable et de l’inertie de Madame la Ministre de la santé qui a été interpellée à de nombreuses reprises depuis bientôt un an par des courriers de malades atteints de la borréliose de Lyme !
Sans compter le laxisme des ministres de la santé successifs depuis plus de 20 ans, interpellés sur le sujet par des députés, sénateurs, divers lanceurs d’alerte ainsi que par des associations ou plus simplement par les malades eux-mêmes !
Assez de voir des médecins qui cherchent des moyens de nous soulager, poursuivis en justice !
Le 12 mars, l’association Lyme Sans Frontières, accompagnée de son avocate, Me Catherine Faivre, déposera cette fois, en mains propres, de nouveaux témoignages de malades qui souhaitent se faire entendre !
Nous invitons donc tous les malades qui le peuvent, adhérents ou non à une association, et leurs proches, à manifester leur indignation:
-Par leur présence, s’ils en ont l’opportunité, devant le Ministère,
-En signant cet appel en ligne .http://www.mesopinions.com/petition/sante/malades-borreliose-lyme-colere-stop-mepris/11553
-En relayant l’information auprès des médias locaux et régionaux.
Nous exigeons :
Que Madame la Ministre de la Santé réunisse très vite autour d’une table, autorités de santé, infectiologues et médecins, chercheurs et associations de patients, afin de :
-Promouvoir la recherche concernant les tests sérodiagnostics reconnus non fiables par les scientifiques ainsi que la révision des critères diagnostiques.
-Revoir les protocoles de soins préconisés par la conférence de consensus de 2006, qui sont à ce jour en pleine contradiction avec les données médicales acquises sur ce point.
-Reconnaître la chronicité possible de cette infection, qui fait toujours et encore l’objet d’un déni de la part des autorités de santé, ce qui laisse des malades sans soins adaptés, voire sans soins du tout, en proie à une grande détresse physique, psychique, sociale et professionnelle.
-Prendre la mesure du risque encouru lors d’échanges transfusionnels ou lors de relations sexuelles, ou de celui encouru par l’enfant in utero lorsque la mère est atteinte de cette infection.
-Former tous les praticiens : médecins, infectiologues, psychiatres, cardiologues, neurologues, et autres soignants.
-Lancer enfin une campagne préventive d’information à destination du public.
IL Y A URGENCE ! UN MALADE SEUL NE PEUT RIEN. ENSEMBLE, NOUS POUVONS TOUT !
Association Lyme Sans Frontièreshttps://www.associationlymesansfrontieres.com